Lecture publiée par Elektor-Labs
Les objets portables vont de plus en plus faire parti de notre quotidien. Les montres connectées, bien que controversées ont montré le pas. Celles publiées par les grands constructeurs tels que Sony (SW1 et SW2), la Samsung Galaxy Gear ou la toute nouvelle SmartWatch d'Apple sont généralement d'avantage des compagnons du téléphone plus que des objets indépendants. Les fonctions basiques telles que la mise à jour de l'heure ou du jour ne peuvent se faire qu'au travers du téléphone.
Si les premières SmartWatch telles que la SW1 de Sony ou la EZ430 de Texas Instrument s'apparentaient d'avantage à des micro-contrôleurs, les derniers modèles tels que la Sony SW2 ou la Samsung Galaxy Gear sont maintenant suffisamment puissantes et miniaturisées pour faire tourner un OS Android complet.
A noter que depuis septembre 2013, Sony a dévoilé les spécifications de la SW1 en Open Source, ce qui permet de voir que le processeur est un STM32F2 de la même famille que la Fez Panda II ou la Fez Cerbuino. Pour l'instant, un seul Open Firmware est publié sur le site et permet d'utiliser l'IDE Arduino pour développer des applications pour la SmartSwatch. Toutes les fonctions de la montre ne sont malheureusement pas encore implémentées.
On croisera ainsi de plus en plus souvent des lunettes connectées telles que les Google Glass qui font légèrement loucher ou les SmartEyes de chez Sony.
On en est presque à oublier que les cartes Arduino ont été initialement
conçues par des designers de vêtement italiens.
Les cartes Lilypad Arduino et
leurs périphériques divers sont là pour nous le rappeler.
Les objets portables vont de plus en plus faire parti de notre quotidien. Les montres connectées, bien que controversées ont montré le pas. Celles publiées par les grands constructeurs tels que Sony (SW1 et SW2), la Samsung Galaxy Gear ou la toute nouvelle SmartWatch d'Apple sont généralement d'avantage des compagnons du téléphone plus que des objets indépendants. Les fonctions basiques telles que la mise à jour de l'heure ou du jour ne peuvent se faire qu'au travers du téléphone.
Si les premières SmartWatch telles que la SW1 de Sony ou la EZ430 de Texas Instrument s'apparentaient d'avantage à des micro-contrôleurs, les derniers modèles tels que la Sony SW2 ou la Samsung Galaxy Gear sont maintenant suffisamment puissantes et miniaturisées pour faire tourner un OS Android complet.
A noter que depuis septembre 2013, Sony a dévoilé les spécifications de la SW1 en Open Source, ce qui permet de voir que le processeur est un STM32F2 de la même famille que la Fez Panda II ou la Fez Cerbuino. Pour l'instant, un seul Open Firmware est publié sur le site et permet d'utiliser l'IDE Arduino pour développer des applications pour la SmartSwatch. Toutes les fonctions de la montre ne sont malheureusement pas encore implémentées.
On croisera ainsi de plus en plus souvent des lunettes connectées telles que les Google Glass qui font légèrement loucher ou les SmartEyes de chez Sony.
LilyPad Arduino
Pour en venir au vêtements connectés, ces dispositifs sont utilisés dans de nombreux spectacles. Ils utilisent soient des rubans de leds ou de plus en plus des fils en plastiques électroluminescents appelés ELWire.
L'ensemble est piloté par un micro-contrôleur cousu à même le vêtement ou inséré dans un boitier.
Ils sont souvent associés à des matériaux de nommés "Conductive fabric" (tissus conducteurs) et à des fils conducteurs que l'on peut se procurer chez Lextronic, AdaFruit ou GrRobotronics. Le Velostat indiqué dans un précédent billet est également utilisé.
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